Cette musique inspire, me rend nostalgique.
Alors je me laisse emporter, romantique,
En l’écoutant pendant des heures,
Le cœur emplit, enivré de bonheur.
Elle me projette près de toi
Tout en me transportant de joie.
Me ramène à notre premier jour,
Où tout était vide aux alentours,
Ici, plus que toi et moi,
En proie à ce tendre émoi,
L’un contre l’autre serré,
Dans cette douce étreinte restions liés.
Ces notes qui doucement s’égrènent,
Me transportent et invariablement m’emmènent
Là où l’amour toujours attend,
Là où se retrouvent les amants.
Tout ce que je ressens encore en moi,
C’est cet amour que tu m’envoies,
Cette tendresse que tu n’as pu donner,
Depuis toutes ces années.
Il y a eu des moments pour pleurer,
D’autres frêles instants pour prier.
Sache que chaque pensée me ramène vers toi.
Ma vie ne peut plus être sans toi.
Je ne vis que d’espérance.
Je comble cette absence
Avec toi chaque jour
En te parlant d’amour.
J’ai gardé dans mes bagages,
L’amour, la joie, la gloire.
J’ai cessé de croire aux mirages,
De me raconter des histoires.
Nous sommes à un autre âge,
Et notre amour continu de grandir.
Chacun de notre côté du rivage,
Nous résistons pour ne pas mourir.
J’ai gardé dans mes bagages,
Mon amour de la vie africaine.
Je garde en mémoire ce mirage,
Pour le seul homme que j’aime.
J’ai retrouvé mes plus beaux jours dans tes manières,
Et réalisé les plus beaux rêves de mes prières.
J’ai des messages au goût et saveur d’orange,
Ecrite de ta douce main, celle d’un ange.
Pour que toujours tu m’aimes un peu,
Je donnerai mon âme et tout mon amour à Dieu,
Pour qu’enfin dans tes bras tu m’emprisonnes,
Que plus jamais tu m’abandonnes.
Pour que toujours tu m’aimes un peu,
Je ferai de toi dans ma tendresse, un homme heureux.
Pour tous les coups durs et toutes nos profondes blessures
J’érigerai pour toi, ma plus belle armure.
So that you always love me a little
I found my best days in your manners,
And made the sweetest dreams of my prayers come true.
I have messages with the taste and flavor of orange,
Written with your gentle hand, that of an angel.
So that you always love me a little,
I will give my soul and all my love to God,
So that finally in your arms you imprison me,
That you never abandon me again.
So that you always love me a little,
I will make of you in my tenderness, a happy man.
For all the hard knocks and all our deep wounds
I will erect my finest armor for you.
Je garde en moi, tous ces mots étranges,
Reçus comme la douce caresse d’un ange.
Je sais que tu m’aimes un peu,
Au-delà du bout du monde, des cieux.
Je suis là, je ne sais que faire.
Désemparée parfois sur cette immense et merveilleuse terre.
Tout dans cette vie, me porte vers toi,
Dans ce désespoir, je garde encore la foi.
Même si cette lampe parfois voudrait s’éteindre,
Dans cet amour si fort, rien à craindre.
Cette flamme au loin qui bouge soudain, vacille,
Reflète le bonheur de mes yeux qui brillent.
I keep in me
I keep all these strange words inside me
Received like the gentle caress of an angel.
I know you love me a little
Beyond the end of the world, the heavens.
I am here, I do not know what to do.
Confused sometimes on this immense and wonderful land.
Everything in this life brings me to you
In this desperation, I still keep the faith.
Even if this lamp sometimes wants to go out,
In this love so strong, nothing to fear.
This flame in the distance which suddenly moves, flickers,
Reflect the happiness of my shining eyes.
…Je me souviens de ses yeux noirs, moqueurs emplis de douceur bien qu’avec ses sourcils froncés je décelais une certaine anxiété. A la commissure de ses lèvres charnues qui s’étiraient dans un large sourire, un léger frémissement apparaissait. C’était notre première rencontre.
Les premières minutes passées, un nouvel éclat apparu dans son regard, reflet de son désir soudain. Il y avait dans ses mots, dans sa voix grave, cet accent qui résonnait tel un appel à un abandon total.
Il était l’homme que j’avais tant espéré depuis toutes ces années. Je me perdais dans son regard, ses silences me bouleversaient et son souffle rapide sur ma joue, m’électrisait. Il était la vague qui me soulevait et m’entraînait dans de douces étreintes. Dans ses bras ainsi emprisonnée, je me perdais. Nous restions de longs moments, dans cette douce immobilité, éperdus d’amour.
Il était l’espoir de toute une vie, un compagnon, un amour, quelqu’un à qui parler, une épaule sur laquelle m’appuyer.
Aujourd’hui, il est toujours à mes côtés. Il n’est plus ce rêve d’un autre monde mais bien cet homme que j’aime toujours et encore un peu plus chaque jour qui passe…
A chaque fête de la Saint Valentin je ne peux que remercier Dieu de l’avoir conduit vers moi.
I remember
… I remember her dark, mocking eyes filled with sweetness although with her furrowed brow I detected some anxiety. At the corners of her full lips, which twitched into a broad smile, a slight quiver appeared. It was our first meeting.
The first few minutes passed, a new sparkle appeared in his eyes, a reflection of his sudden desire. There was in his words, in his deep voice, this accent which echoed like a call to a total abandonment.
He was the man I had hoped for all these years. I lost myself in his gaze, his silences overwhelmed me and his rapid breath on my cheek electrified me. He was the wave that lifted me up and pulled me into gentle hugs. In his arms thus imprisoned, I lost myself. We stayed for long moments, in this sweet stillness, desperate for love.
He was the hope of a lifetime, a companion, a love, someone to talk to, a shoulder to lean on.
Today he is always by my side. He is no longer this dream from another world but this man whom I still love and even more each day that passes …
Every Valentine’s Day I can only thank God for bringing him to me.
Après la froideur de ces jours derniers,
Les nuages se sont ouverts déversant leur pluie
Dégageant l’odeur des sous-bois, de la terre mouillée
Que nos pas devraient fouler, marteler.
Après la chaleur étouffante de tes baisers
La paix, le calme, sont revenus.
Ces draps ne sont plus défaits ni froissés,
Sous le poids de nos corps dévêtus.
Dans la froideur de l’hiver,
Je me surprends sans cesse à rêver,
Que dans mon cœur c’est l’été
Et qu’aujourd’hui c’est hier.
Je ne cesserai de t’aimer,
Même une fois l’hiver passé,
Et je continuerai d’espérer,
Pour que ma vie finisse à tes côtés.
Quel doux, étrange et merveilleux moment,
Quand je vis ta silhouette se dessiner,
Différente de ce que j’avais imaginé,
Ondulant à chacun de tes mouvements.
Ton magnifique sourire m’a inondé
D’une joie qui m’a emportée
Dans des désirs bien souvent inavoués,
Persuadée que l’amour avait déserté.
J’ai senti au fond de moi,
La forte pression de tes doigts,
Ta bouche avide qui me soulevait
M’entraînant dans un merveilleux rêve.
Tout en toi appelait l’amour.
Dans tes bras, solides et forts,
J’abandonnais mon être devenu sourd,
Vaincue par les vibrations de ton corps.
Quelle merveilleuse rencontre
L’amour ainsi trouvé
Rien aujourd’hui ne démontre
Qu’il s’en soit allé.
L’amour a frappé à ma porte,
Tel un soleil pour réchauffer mon cœur.
Un simple mot tendre de toi me réconforte,
Tout en m’enveloppant d’une douce chaleur.
Je trouve mes jours parfois très longs.
Je ne cesse de penser.
Je tiens à toi. Je scrute l’horizon,
Je cherche, tu ne quittes jamais mes pensées.
Tu es mon unique amour,
Pas d’incertitudes tout est réel, trop vrai.
Chaque jour,
Dans mon cœur, plus rien ne m’effraie.
Peu importe les souffrances, la solitude, le temps,
Je reste là, calme, tranquille. Je t’attends.
Trop esseulée, je m’accroche à toi désespérément,
A cet amour qui reste en moi éternellement.
О себе, о женщинах, об особенностях женского организма, об изменениях, связанных с возрастом. О красоте и здоровье, о том, чтобы сохранить их в условиях дефицита времени. О том, как сделать так, чтобы чувствовать себя королевой, чтобы окружающие видели её в вас.