Thomas R : Je viens de terminer votre livre. On se prend tout de suite dans cette histoire captivante, voire stressante tellement l’intrigue est prenante, et l’on se lie aux deux personnalités fortes. La lecture est déroutante, peut-être parce que l’on ne s’attend pas à ce style de votre part et cette nouveauté est finalement très attrayante. Et sans dévoiler la fin, l’on se dit : mais quel véritable gâchis de passer à côté de la personne que l’on aime ! On maugrée. Merci Gyslaine pour ce roman, en vous lisant on est plongé dans l’aventure à en oublier tout le reste. C’est ce qu’on appelle une bien belle lecture.
Je ferme les yeux pour te voir Je les laisse pleurer Et doucement se noyer Par tout ce qui peut m’émouvoir.
J’ai écrit une histoire Qui ressemble étrangement à la nôtre Et qui ne voulait rien dire d’autre Que je garde toujours l’espoir.
Jamais ne s’effacera la mémoire de nos nuits. Quitte à tout perdre, je vivrai Pour que ces instants restent à jamais Le souvenir de nos instants de vie.
Je garde au fond de moi Tout cet amour qui illumine Ces sentiments que j’ai pour toi Toute cette chaleur que tu devines.
I close my eyes to see you I let them cry And slowly drown By anything that can move me.
I wrote a story Which looks strangely like ours And that meant nothing else That I always have hope.
The memory of our nights will never be erased. Even if it means losing everything, I will live So that these moments remain forever The memory of our moments of life.
I keep deep inside me All this love that illuminates These feelings that I have for you All this heat you can imagine.
Dans ce roman d’amour de fiction où vient se glisser l’aventure, le crime, la violence, l’auteure nous emporte dans une histoire étonnante. Une tension omniprésente, des surprises en cascade, des émotions fortes entre deux êtres que tout semble vouloir séparer.
Des choix, des sacrifices qui détermineront leur devenir.
D’un mot, d’une seule caresse, Tu me fais briller de tout mon éclat. Et quand tu me prends dans tes bras, Doux instants où mes craintes disparaissent.
Bercée de chair frémissante, Echevelée, la gorge offerte, Le corps parfois inerte, Victime abandonnée et trébuchante.
Dans tes yeux je vois tant de ferveur, Des choses très douces et des désirs limpides, Que dans tes mains libératrices, rapides, Je sombre dans un merveilleux déluge de bonheur.
D’un mot, d’une seule caresse, Tu m’entraînes bien au-delà De cette solitude, de cette détresse, En m’ouvrant simplement tes bras.
With a word, with a single caress, You make me shine with all my shine. And when you take me in your arms, Sweet moments when my fears disappear.
Rocked by quivering flesh, Disheveled, throat open, The body sometimes inert, Abandoned and stumbling victim.
In your eyes I see so much fervor, Very sweet things and clear desires, That in your liberating, quick hands, I sink into a wonderful flood of happiness.
With a word, with a single caress, You take me far beyond Of this solitude, of this distress, By simply opening your arms to me.
Je me suis rapprochée de toi, Alors que l’amour me précédait encore, Et quand j’ai posé les mains sur ton corps Ta douceur m’est apparue me mettant en émoi.
L’amour si on y pense à peine, Est sur tous les rivages et dans tous les bras, Le hasard tel que je le conçois, un jour sourira Nous entrainant loin de nos déveines.
Je reste si proche de toi, Que nos cœurs peuvent se rejoindre Et avant que l’aube ne puisse poindre, Je me réfugie dans les bois.
J’écoute le cri des mouettes, Qui volent au-dessus des pins, Me rappelant que dans ce chemin, Se dessinaient nos silhouettes.
Quand je me rapproche de toi, L’amour qui me précède encore, Me fait deviner tous ces trésors, Qui sommeillent au fond de toi.
Je ne rêve que d’attiser Tous tes sens endormis Je rêve de t’aimer Ainsi chaque nuit.
I got closer to you, While love still preceded me, And when I put my hands on your body Your sweetness appeared to me, setting me in turmoil.
Love if we barely think about it, Is on every shore and in every arm, Chance as I understand it, one day will smile Dragging us away from our bad luck.
I stay so close to you, That our hearts can come together And before dawn can break, I take refuge in the woods.
I listen to the cry of the seagulls, Who fly above the pines, Remembering that on this path, Our silhouettes took shape.
When I get closer to you, The love that still precedes me, Makes me guess all these treasures, Who sleep deep inside you.
I only dream of stirring up All your senses asleep I dream of loving you So every night.