Il y a toujours ce vent
Qui me cingle brutalement
Sans parvenir à sécher ces larmes
De rage, de désespoir
Ni parvenir à étouffer mes cris,
Ni effacer ces traces d’insomnies,
Pendant lesquelles la douleur,
Me sort sans douceur,
De ce grand lit,
Où meurent les envies,
Où naissent les tourments,
De ne plus pouvoir vivre intensément.
Emportés par le vent,
Je lâche ces mots,
Qui ont oubliés d’être beaux,
Mais qui soulagent instantanément.
Je fuis ce monde, les gens,
Qui de moi, sont biens différents.
Alors mes doigts courent, pianotent,
Noircissant ce bloc-notes
Seul confident,
De mes peines, de mes tourments.
Seul espace
Où je vis vraiment.
My only confidant
There’s always this wind
Who brutally cuts me
Without succeeding in drying these tears
Of rage, despair
Neither succeeds in stifling my cries,
Neither erases these traces of insomnia,
During which pain,
Puts me out, gently
From this large bed,
Where dye the desires,
Where the torments born,
To not to be able to live intensely.
Carried away by the wind,
I let go of these words,
Who have forgotten to be beautiful,
But who relieve instantly.
I flee this world, people,
Which of me are very different.
Then my fingers run, tape away,
Blackening this Notepad
The only confidant,
Of my sorrows, of my torments.
Only space
Where I really live.
Gys
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Beautifully sad and powerful Gyslaine. Wonderful poetry and image! ❤
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It’s another part of my poems 🙂
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Qu’est ce qui se passe Gyslaine? Je n’aime pas te voir comme ça.
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La douleur, l’insomnie ont parfois raison de ma volonté, cela passera 🙂
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Je voulais te poser la même question que Charef mais puisqu’il ma devancée j’ai ta réponse.
Il est difficile de donner des conseils tu sais mieux que nous se dont tu souffre et peut être comment y remédier.
Bisous Gyslaine
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Merci Roberte
Bisous 🙂
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